Beschreibung der Videos
Es läuten die Glocken der reformierten Kirche in Rorschach im Kanton St. Gallen.
4 Glocken:
Stimmung:
F° A° c' f'
Motiv: Dur-Akkord
Das Monumentale Quartett der reformierten Kirche in Rorschach ist in einem reinharmonischen Dur-Akkord gestimmt. Es ist ein unglaublich grosses und Schweres Geläut mit einer wunderbaren Grundglocke, das seines Gleichen sucht!
Gegossen wurde das Gigantische Ensenble von der bekannten Giesserei Rüetschi in Aarau Im Jahr 1904.
Das langsame Einschalten der Glocken erzeugt einen majestätischen Eindruck. Ehrfurchtgebietend beginnt die grosse Glocke einzuschwingen, und entsendet ihren monumentalen Klang mit den tiefen Grundton F° über die Stadt Rorschach!
Das gigantische Geläut hängt an Gussstahljochen, wie es sie sonst nicht gibt. Sie sind überschwer, und verlangsamen so den Läuterhythmus. Dadurch wirkt die Schwungbewegung der Glocken irgendwie "runder", und schwungvoller. Das ist besonders gut bei den Glocken F° und A° sichtbar. Etwas wirklich einmaliges!
Zudem ist das hier ein Stahlstuhl mit Unterstuhl!
Er ist ein Geschoss weiter unten im Turm verankert.
Auch Glocke 2, die A° ist eine sehr schöne Glocke!
Alle Glocken harmonieren miteinander, und machen mit ihrer grösse, ihrer Schönheit und Klangfülle dieses Geläut zu etwas einzigartigem! Glocke 3 (c') hat einen neuen Klöppel bekommen. Der alte liegt daneben am Boden. Der Klang ist warm und angenehm, er verleiht den Menschen Seele und Wärme!
Zu Beginn ist die kath. Jugendkirche mit ihrem fünfstimmigen Geläut in der Tonfolge B° d' f' g' a' zu hören.
Die Glockendaten:
Glocke 1:
Name: Beerdigungsglocke
Ton: F°
Gewicht: 8137kg
Gießer: Rüetschi Aarau
Gussjahr: 1904
Glocke 2:
Name: Mittagsglocke
Ton: A°
Gewicht: 4071kg
Gießer: Rüetschi Aarau
Gussjahr: 1904
Glocke 3:
Name: Betzeitglocke
Ton: c'
Gewicht: 2350kg
Gießer: Rüetschi Aarau
Gussjahr: 1904
Glocke 4:
Name: Kinderbeerdigungsglocke
Ton: f'
Gewicht: 1052kg
Gießer: Rüetschi Aarau
Gussjahr: 1904
Ein herzliches Vergelt's Gott dem netten Mesmer, der uns den Turm mit seinem Bronze-Schatz zugänglich machte!
Dieses Video eines Wunderbaren Geläuts widme ich frauenfelder82, valdom68 und armrein.
http://www.youtube.com/user/frauenfelder82
http://www.youtube.com/user/valdom68
http://www.youtube.com/user/armrein
http://cloches74.com/2015/07/16/dijon-cathedrale/
L'histoire de la cathédrale débute en 511. L'évêque saint Grégoire de Langres (dont Dijon dépendit jusqu'au XVIIIe siècle) fit construire une crypte afin d'y déposer le corps d'un saint anonyme, dont la tombe faisait des miracles : ce saint y avait gagné le surnom de "benignus", "le bon", et est maintenant connu sous le nom saint Bénigne. Une vita ne fut rédigée qu'a posteriori. Dès 535, le même Grégoire fait élever une basilique au dessus de la crypte. En 871, une abbaye bénédictine est crée, mais la basilique étant vétuste, l'évêque de Langres, Isaac la fait reconstruire. Elle prend logiquement le titre d'abbatiale. En 1001, l'abbé de Saint-Bénigne s'engage dans la construction d'un nouvel édifice de style roman-lombard. C'est à ce moment que la crypte telle qu'on la connaît est édifiée : il s'agit en fait du rez-de-chaussée d'une rotonde, qui permettait aux fidèles de déambuler autour du corps du saint. Entre 1137 et 1147, l'ancien portail est construit. Il disparaîtra au XIXe siècle. Dès 1280, on édifie le nouveau sanctuaire gothique car une des tours s'était effondrée sur lui en 1271. Il ne sera achevé qu'en 1393. En 1479, Louis XI prend à témoin le lieu de culte dijonnais pour confirmer sa protection envers la capitale bourguignonne, c'est à dire en réalité, sa reconquête du duché bourguignon. (Les canons du château dijonnais, par exemple, étaient tournés du côté de l'église Notre-Dame pour mater la ville en cas d'émeute, et les Français ne manquèrent pas de s'en servir). En 1813, l'abbatiale devient cathédrale du tout jeune diocèse de Dijon, érigé en 1731. Auparavant, la cathédrale était Saint-Etienne. Le portail de la basilique est alors supprimé. Il n'en subsiste que saint Bénigne et quatre autres éléments. Au XIXe siècle, la cathédrale est jugée délabrée. Certains envisagent même de la démolir. Des travaux de restauration sont engagés en 1830 puis en 1884. En 2002 le diocèse de Dijon devient archevêché métropolitain : la cathédrale devient logiquement dans la suite la cathédrale métropolitaine.
A l'intérieur, le visiteur remarque une grande différence entre la pierre de la nef et celle du chœur. Il est raconté que la pierre n'était pas la même. La campagne de restauration faite entre 1988 et 1995 a eu pour but de refaire ce contraste, vivement critiqué. Les grandes orgues sont également remarquables, elles furent construites au XVIIIe siècle par les frères Riepp, qui ont également réalisé les orgues de la collégiale Notre-Dame de Dole.
HISTOIRE DES CLOCHES : http://wp.me/p2Zq00-Qr
Cl.1 "Marie Alphonse" : G. Morel, 1862 - 7'122 kg, 221,2cm - Fa 2 +4
Cl.2 "Claude" : Guillot, Mahuet, 1740 - 3'500 kg ,172,4cm - La 2 +9
Cl.3 "Elisabeth Louise" : G. Morel, 1862 - 1'805 kg, 143,8cm - Do 3 +10
Cl.4 "Bernard Sophie" : G. Morel, 1862 - 794 kg, 108cm - Fa 3 +11
(nom, fondeur(s), année, masse, diamètre, note (la3=435 Hz))
Mes remerciements vont au chanoine Dominique Garnier, archiprêtre émérite de la cathédrale pour son aimable autorisation, ainsi qu'à M. Sébastien Carcel, sacristain, pour son accueil et son dévouement. Je tiens également à remercier le chanoine Gonneaud, archiprêtre de la cathédrale et jadis curé de Notre-Dame de Dijon pour l'organisation de cette visite et à Mike "Quasimodo" sans qui ce reportage n'aurait pas vu le jour.
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